« Psalterium » en latin signifie à la fois le psautier, ou recueil de psaumes, et est le nom d’un instrument de musique, en français le Psalterion, dont la version à archet peut être vue comme un lointain ancêtre du violoncelle.

L’idée de ce 5^ème quatuor est née après un voyage à Perm, en Russie. J’y ai fait la connaissance du violoncelliste Alexei Zhilin, membre du Quatuor David Oïstrakh, qui m’a proposé d’écrire une œuvre pour sa formation. Ce projet a pu se concrétiser grâce au Festival des Forêts, qui m’a passé commande.

Cette œuvre, qui répond à une commande du Paris Mozart Orchestra, est un mélologue, à l’instar de la scène dramatique homonyme de Jean-Jacques Rousseau. Le poème « commenté » par l’orchestre est une ballade de Goethe, qui s’éloigne notablement du mythe raconté par Rousseau et, avant lui, Ovide.

Coutumier des chocs, formels mais aussi langagiers, Hèctor Parra renouera le 11 mai prochain à la Philharmonie de Cologne...

Création mondiale, commandée par l’Opéra de Lyon au compositeur Alexander Raskatov, GerMANIA possède tous les atours d'un événement majeur de la scène lyrique internationale.

La voix singulière de Joan Magrané Figuera, un des talents les plus prometteurs de l'école espagnole contemporaine de composition qui nous a déjà gratifié de grands maîtres en devenir comme Alberto Posadas et Hector Parra, se fera de nouveau entendre sur ses trois terres de prédilection...

Évoquant cette nouvelle œuvre, dont on peut parier qu'elle restera au panthéon de la post-modernité française à l'instar de son fameux Trio d'après Marin Marais...

La création italienne de Medeamaterial de Pascal Dusapin, la désormais célèbre adaptation lyrique de l'oeuvre éponyme de Heiner Müller, s'est vue décernée le prix Franco Abbiati.

Avec sa nouvelle oeuvre symphonique de grand format, Hector Parra confirme la singularité fascinante de son inspiration, qui fait dialoguer sens sculptural de la matière sonore et besoin irrépressible de narrativité.

On n'aurait pu imaginer rencontre plus légitime que celle du travail compositionnel d'Oscar Bianchi avec le projet "connect / le public artiste", dont l'utopie géniale vise à décloisonner le musicien sur scène et l'auditeur dans la salle.