La pièce de Blai Soler intitulée "Sol" de Blai Soler sera donnée à l'Opéra national de Bordeaux, commanditaire de l'oeuvre, en création mondiale le 2 mars 2017 par l'Orchestre national Bordeaux Aquitaine sous la direction de Paul Daniel.

Création nationale le 18 janvier 2019 à Amsterdam par le Royal Concertgebouw Orchestra Amsterdam sous la direction de George Benjamin.

Manuel de Falla, comme Bartók ou Enesco dans leurs pays respectifs, emprunte, à l’écart de tout conformisme folklorique, les voies de la modernité pour donner à la musique espagnole, dans ses différentes composantes culturelles régionales, une dimension universelle. En hissant au niveau le plus exigeant de la création artistique ce patrimoine qui fait partie des  « musiques du monde » si appréciées à notre époque, il apparaît au début du XXe siècle comme un véritable précurseur.

Philippe Hersant - La Lumière et l'ombre

A l'occasion du 40e anniversaire du Chœur de l'Orchestre de Paris, Lionel Sow, Directeur musical de cette formation, a confié à Philippe Hersant la composition d'une nouvelle pièce qui épouse le format choral et instrumental du Te Deum de Berlioz, partition qui sera associée le 21 janvier prochain, à la Philharmonie de Paris, à la création de La Lumière et l'Ombre avec l'Orchestre de Paris sous la direction de Bertrand de Billy.

Et nous tournions autour de ces fontaines hallucinées de Benjamin Attahir

La nouvelle composition de Benjamin Attahir, Et nous tournions autour de ces fontaines hallucinées inspirée de la Fontaine Stravinsky devant l'Ircam à Paris, sera donnée en création mondiale le 10 janvier 2017 à la Philharmonie de Cologne par l'Ensemble InterContemporain sous la direction de Gregor A. Mayrhofer.

« Marvellous, wonderful, splendid, you are a genius ! » déclara un soir de décembre 1927 George Gershwin à Tansman, après la création triomphale  de son Second Concerto pour piano à Boston. L’œuvre dédiée à Charlie Chaplin, fut rejouée avec un immense succès l’été suivant par le pianiste Robert Schmitz à l’Hollywood Bowl de Los Angeles devant près de vingt mille personnes. Les acclamations, en l’absence du compositeur, se portèrent au dédicataire, alors obligé de venir saluer sur scène.

EXORDIUM - PREMIÈRE ŒUVRE D'UN GRAND CYCLE ORCHESTRAL 

Après une collaboration prolixe avec le Gewandhaus Leipzig, Oscar Bianchi se tourne à nouveau vers les défis qu'offre l'orchestre, cette fois-ci de façon délibérée comme dans un espace de sens, sens qui se développent uniquement par des croisements et des seuils. Pour aborder un si vaste sujet, Oscar Bianchi entame un grand cycle orchestral, qui sera basé sur l'Art de la Rhétorique. En ouverture de ce cycle Exordium sera donné en création mondiale le 24 novembre 2016 par l'Orchestra della Svizzera Italiana sous la direction de Markus Poschner.

"AUBE" DE JEAN-FRÉDÉRIC NEUBURGER REPRISE EN ISRAEL

Quasiment un an après la création mondiale de Aube par le Boston Symphonic Orchestra sous la direction de Christoph von Dohnanyi, la pièce d'orchestre est reprise pour 5 concerts en tournée (de Tel Aviv à Haïfa) en Israël par le Israel Philharmonic Orchestra sous la direction d'Alexander Briger.

UN CIELO Y EL OTRO: Une musique originale de Pascal Dusapin chorégraphiée par Diana Theocharidis. Un projet chorégraphique autour de la musique de Pascal Dusapin avec ses études pour piano, des pièces pour violoncelle et la création mondiale de sa dernière pièce Slackline.

UN CONCERT: Celo de Pascal Dusapin - Concerto pour 2 pianos de Francis Poulenc - La Valse de Maurice Ravel

« La patience, la précision, la décision. Ces trois vertus humaines caractérisent Alberto Posadas, et c’est grâce à elles qu’il a réussi à conquérir, sans hâte mais aussi sans répit, sa place sur la scène musicale européenne. » José L. Besada

Ce mois de septembre verra la création de nombreuses pièces à l'occasion du Festival Musica de Strasbourg 2016, l'invitation de Philippe Manoury à l'Académie de composition dudit Festival et le début de sa résidence au Wisseschaftkolleg de Berlin.

Dans cette pièce l’ensemble instrumental joue le rôle d’un révélateur. Il provoque la mémoire de la voix. Celle-ci retrouve ainsi des fragments d’un souvenir enfoui, souvenir sûrement douloureux à en croire les tensions exacerbées que cela provoque entre la chanteuse et l’ensemble. Donc pas d’histoire précise, seulement des éclats d’une mémoire perdue : on peut imaginer que quelque chose de très violent s’est passé jadis, quelque chose que l’on s’est empressé d’oublier. Ainsi pendant la durée de la pièce on assiste à l’apparition graduelle d’images sonores qui tentent de recomposer le puzzle d’une mémoire et qui peu à peu disparaissent à nouveau jusqu’au silence. Georges Aperghis